Dans la série des « Dram Exceptional », on retrouve ce vieux Glenglassaugh de 1972, année plutôt recherchée par les amateurs de la distillerie. L’occasion de boire un verre de ce distillat rarement proposé en single malt…
Nez : c’est plutôt gras avec de la banane mûre, de la crème mais aussi du beurre. C’est pâtissier sans être franchement fruité ou gourmand. Avec l’ouverture cela devient huileux avec du citron vert, de la menthe, du graphite ou encore de la noix de pécan (en retrait).
Bouche : c’est toujours gras (crème fraîche) avec du malt, du citron vert, du miel et de la noix de pécan par la suite.
Finale : c’est vraiment court sur le citron vert, un léger boisé, des épices disparates et toujours un peu de pécan. Cela manque clairement de punch mais les épices et le boisé ressortent un peu.
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