La tourbe est une des spécificités de notre breuvage favori. Si sa place dans la confection des whiskys est facile à appréhender, la dégustation laisse la place à quelques questionnements. Discutons donc ensemble de ce terme parfois soumis à controverse sur certains embouteillages…
Pour ceux qui seraient passés à côté de l’annonce concernant les débits d’idées. Le projet est expliqué ici et nous vous invitons à lire cet article (si ce n’est déjà fait) :
Les débits d’idées
La semaine dernière, nous parlions du Brexit et de ses conséquences pour les amalteurs. Le débat est bien entendu toujours ouvert, donc n’hésitez pas à enrichir les discussions sur ce thème !
Si d’un point de vue pragmatique, la tourbe est un élément connu du monde malté, le terme devient beaucoup plus compliqué à établir dans la dégustation. En effet, la tourbe regroupe plein de familles aromatiques (épices, frais…) et ne se cantonne pas toujours à de la fumée de cheminée.
Vous pensez que l’on doit restreindre son utilisation aux sensations les plus évidentes ? Vous suggérez que le terme « tourbe » doit rester dans l’explication de la fabrication du whisky et non dans la dégustation ou, au contraire, que c’est un valeur sûre, un repère indispensable pour l’amalteur ? Vous pensez que si Tolkien avait écrit « les deux tourbes », on aurait pu avoir un traité de paix avec Sauron, autour d’un bon dram ?
(Rayez la mention inutile)
Venez partager votre opinion sur le sujet ici :
Débits d’idées n°13
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