C’est l’été (si si, on vous jure) et les fortes chaleurs, si elles ne sont pas caniculaires, nous incitent à boire frais, de préférence autour d’un repas roboratif. Oui mais voilà, l’alarme biologique du dégustateur de whisky continue de fonctionner. Dans ces conditions, peut-on siroter avec autant de plaisir un dram ? A vous de nous le dire…
Pour ceux qui seraient passés à côté de l’annonce concernant les débits d’idées. Le projet est expliqué ici et nous vous invitons à lire cet article (si ce n’est déjà fait) :
Les débits d’idées
La semaine dernière, nous parlions de la cuisine au whisky. Le débat est bien entendu toujours ouvert, donc n’hésitez pas à enrichir les discussions sur ce thème !
On le sait bien, la chaleur influe sur nos modes de consommation, sur l’environnement dans lequel on va réaliser notre dégustation et, bien entendu, sur notre perception de notre breuvage maltée.
Vous pensez que l’on a qu’à boire un irlandais arrosé de glace dans des tumblers ? Vous pensez que l’on doit se recentrer sur d’autres alcools afin de passer cette phase délicate ou au, contraire, qu’en se concentrant et en attendant le moment propice, on peut tout à fait déguster ? Vous pensez que Marc Levy devrait être prix Nobel de littérature ?
(Rayez la mention inutile)
Venez partager votre opinion sur le sujet ici :
Débits d’idées n°15
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