Nez : ça sent la barbe à papa et la banane Haribo. Il y a aussi des traces de café au lait, de la pâte à tarte et quelques épices (girofle, cardamome). Plutôt sommaire et trop sucré. Il y a pourtant une certaine retenue dans ses 58 % qui le rend un peu mystérieux. L’eau l’ouvre sur des notes florales (acacia) et de l’agrume (orange). Un nez pas désagréable mais qui semble lointain.
Bouche : oula cela agresse !!! De la vanille, de l’amande et des épices bien plus violentes (cannelle à outrance). De l’eau vite !!! Avec de l’eau, il ne reste pas grand chose hormis du chocolat au lait (discret), un peu d’agrumes, un soupçon de guimauve et ses épices brutales. C’est vraiment léger et sans intérêt, un filet aromatique dispersé dans le temps.
Finale : la finale est sur le chocolat au lait et une tonne d’épices aux relents secs et boisés ; l’astringence est là. La langue est scotchée.
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