Nous continuons notre investigation du monde malté avec, cette fois-ci, un questionnement autour de l’organisation d’une dégustation (personnelle ou entre amis). En effet, comme choisir quel whisky sera sacrifié sur l’autel de l’hédonisme ? La réponse n’est pas forcément évidente…
Pour ceux qui seraient passés à côté de l’annonce concernant les débits d’idées. Le projet est expliqué ici et nous vous invitons à lire cet article (si ce n’est déjà fait) :
Les débits d’idées
La semaine dernière, nous parlions des malternatives susceptibles d’illuminer la vie d’un amalteur. Le débat est bien entendu toujours ouvert, donc n’hésitez pas à enrichir les discussions sur ce thème !
La line-up est un élément crucial puisqu’elle détermine l’ordre des bouteilles dégustées. Un raté lors de son élaboration pourrait saborder le travail effectué par les embouteilleurs.
Que ce soit en solitaire ou avec un groupe d’amis amalteurs, on cherche toujours à opter pour le meilleur enchaînement possible et le premier élément de la line-up, le starter, est un point névralgique. Nous nous demandons donc sur quels critères nous pouvons nous baser pour le sélectionner avec le plus de soin.
Vous prônez la tourbe à tous les étages parce qu’il n’y a que cela de bon ? Vous pensez que discriminer les whiskys à 60% devraient être un crime pris en charge par la HALDE ? Vous arguez que le starter doit réveiller les papilles ou encore qu’il doit simplement familiariser la bouche avec la présence d’alcool ? Ou encore qu’on devrait appeler cela un « démarreur » parce qu’on est en France, après tout ?
(rayez la mention inutile).
Venez partager votre opinion sur le sujet ici :
Le débat de la semaine
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