Si les single malts embouteillés bruts de fût forment une engeance relativement récente dans l’histoire du whisky, ils sont devenus le péché mignon de bon nombre d’amalteurs.
Il était donc légitime de se demander si cette foi en la puissance explosive était justifiée ou si la réduction pouvait être vertueuse…
Pour ceux qui seraient passés à côté de l’annonce concernant les débits d’idées. Le projet est expliqué ici et nous vous invitons à lire cet article (si ce n’est déjà fait) :
Les débits d’idées
La semaine dernière, nous parlions du choix du starter. Le débat est bien entendu toujours ouvert, donc n’hésitez pas à enrichir les discussions sur ce thème !
Dans un monde fait de produits de niche bruts de fût, on est presque surpris de revoir cette bonne vieille réduction, qu’elle soit à 48, 46, 43 ou 40%. Pourtant, avant de condamner à l’enfer éternel ces éditions, il était bon de se demander si on devait réellement être réticent à les accueillir.
Vous pensez qu’il n’y a rien de meilleur que le produit nature, à pleine puissance ? Qu’un petit 46% préservera vos papilles délicates ou au contraire que cela va être un énième spiritueux à la consistance aqueuse ? Vous croyez dur comme Fe2+ que les whiskys réduits ne peuvent être oxydés ?
(Rayez la mention inutile)
Venez partager votre opinion sur le sujet ici :
Débits d’idées n°8
3 Comments
GERMAIN
1 juin 2016 at 13 h 10 minPar grande confiance envers les Whisky maker’s, je conserve intact les bruts de fûts dans mon verre.
Arth
10 juin 2016 at 13 h 44 minTu te sens plus expert qu’eux ?
Thomas
1 juin 2016 at 14 h 31 minBonjour Germain !
Ah ? Un avis divergent du mien (qui ne le laisse pas forcément intact). N’hésitez pas à venir donner votre avis sur le forum, où l’on en cause (cf lien dans l’article).