Nez : on sent tout de suite beaucoup de rondeur. Du miel, de l’exotisme (mangue, lait de coco) et des notes plus végétales voire terreuses (légèrement fermier, un peu mycélien). L’ouverture offre un peu de menthol, de la gentiane et une touche maltée. L’ouverture se poursuivant, on possède un nez encore plus vert, mais moins dirty que certains Inchgower 82.
Bouche : texture chaude et semi-soyeuse. Une attaque fugace sur le sous-bois puis, rapidement, de la brioche, de l’orange, beaucoup de végétal (menthol bien présent mais aussi gentiane) et du chocolat au lait avant que de la cannelle et du gingembre n’apparaissent. L’alcool attaque un peu fort. L’apport d’eau diminue la latence avant l’arrivée du duo chocolat-épices. Globalement, cela reste assez subtil, les saveurs se posant vraiment avec délicatesse.
Finale : ça se termine tranquillement sur le gingembre et le menthol (franchement présents). On a une petite astringence en finale mais cela reste mineur. L’arrière-bouche est assez neutre avec des pointes végétales uniquement.
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