Même si son nom n’apparaît pas sur la bouteille, il s’agit bien d’un Willowbank. Élaboré à partir d’orge 100% néo-zélandaise, cet embouteillage de la distillerie fermée en 1997 avait de quoi attirer notre attention…
Nez : c’est rond mais sans grande puissance. On sent du miel, du lait concentré sucré, de l’ananas, et des fruits jaunes (pêche, abricot) mais aussi de l’amande et des œufs battus. Du fait de la réduction, le fondu est le maître-mot de ce nez. L’ouverture apporte une once chimique (peinture, plastique). C’est mou mais c’est un nez qui possède quelques surprises.
Bouche : c’est très aqueux et le profil s’est perdu en cours de route. On a bien une pointe de miel, une note chimique et un peu de pêche mais ces arômes sont passagers. Le fût semble avoir trop travaillé avec un épisode épicé et boisé en seconde partie de bouche. C’est assez neutre et plutôt plat. A vrai dire, on s’ennuie un peu. On attendait bien plus après les notes perçues au nez.
Finale : c’est très court avec une persistance très réduite. On a encore un peu de miel et de fumée et bien sûr des épices/bois. L’arrière-bouche n’est pas plus riche en saveur.
Leave a Reply