Ce whisky sélectionné par Hans Offringa, écrivain proposant notamment des ouvrages liant whisky et musique, rappelle que Campbeltown est une partie injustement oublié. Une version brute de fût qu’il faudra aller chercher, malheureusement, aux Pays-Bas…
Nez : on a des notes minérales avec du poivre de Sichuan, de la menthe et du paprika. On a ensuite des touches carnées lointaines et douces. C’est plutôt rond et cet amalgame dérive vers le fermier avec du lait chaud au miel et une pointe de mandarine.
Bouche : on retrouve de la pierre froide avec ce lait chaud au miel, du citron, de la menthe poivrée. La seconde partie de bouche part sur le fermier avec de la cannelle, du malt et de la chlorophylle à profusion.
Finale : chlorophylle, mandarine, lait chaud à la cannelle. C’est un peu court pour la puissance alcoolique mais la persistance est bel et bien là.
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