Cette édition limitée à 182 bouteilles nous proposait un vieux single cask de Tormore, distillerie notamment utilisée pour le blend Long John. Ce sont les britanniques de Master of Malt qui nous offrait ce whisky pour lequel la part des anges n’avait pas été des plus virulentes…
Nez : on a des notes de pâtes d’amande, d’orange et de fleurs. L’alcool se fait chaudement sentir à l’accueil. L’ouverture comme l’eau lui donne des accents chimiques (lessive lavande), de la pêche sirupeuse, de l’ananas poêlé. Il y a quelques vagues de pâte à modeler également. C’est rapidement écœurant mais pas vraiment désagréable.
Bouche : on a une texture massive mais chaude, avec un alcool vif sur le chocolat, la vanille et des fruits jaunes (traces). L’alcool est bien trop présent. L’eau ne l’aide pas : l’alcool n’est toujours pas acceptable et les saveurs sont alors évanescentes. Même noyé, partant alors sur l’amande amère, il est encore relevé par l’alcool. Franchement sans intérêt mais frustrant car les arômes auraient pu être jolis.
Finale : la finale contient de l’amande et de la vanille mais la puissance des arômes est presque insignifiante comparée au développement alcoolique.
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